Marie Thérèse Cessac

Chère Tante Mirèse,
Un grand merci pour tous nos échanges, ton incitation à agir et à accepter nos réalités.
Tu l'as fait avec beaucoup d'affection et je ressentais, à travers tes mots, un souffle de vie qui nourrissait mon cœur.
Je penserai à toi, à ta naissance dans ce monde et ce que tu as fait de ta vie, quand je passerai devant le 1 rue des Récollets, adresse si chère à notre histoire familiale.

Nous présentons aux proches de Mme CESSAC, nos plus sincères condoléances, et notre soutien
suite à son décès. Cordialement. MM.TELMAN, 10 Le Palua.
 

Béatrice,  c'est avec une grande peine que nous avons appris le décès de ta maman. Toutes nos condoléances à toi et toute ta famille.
Nous sommes à tes côtés dans cette épreuve et sache que nous sommes là pour toi. Beaucoup de courage.
Avec toute notre affection.
Marlene et Jhonny.
PS : Sincères condoléances de Patrick et Marie 

Chère Marraine,
Alors que tu viens de nous quitter, je réfléchis aux moments heureux que nous avons pu partager.. Je réalise qu'ils ne sont pas très nombreux.. Je n'ai pas su les provoquer et je m'en veux de ce caractère trop peureux.
Le temps est passé, nous devrions avoir en tête que la vie n'est pas éternel..
A quoi bon avoir des regrets, je préfère garder de toi quelque chose de chaleureux comme ce doux pull que tu m'avais tricoté et que j'ai gardé tant d'années.
A toi et à mes cousins je vous assure de mes pensées et vous transmets toute mon affection. Isabelle

Un jour où nous étions tous réunis..

PJ au message précédent

Chère petite soeur,
Je n'arrive pas à m'imaginer que tu n'es plus là. La vie n'est pas juste, c'était à moi à partir la première.
De nombreux souvenirs me reviennent : sur cette photo, nous étions costumées à une fête de l'école Notre Dame pour réciter un poème "les petites vieilles" ou encore, les années passées dans la chambre du 2ème étage des Récollets où nous dormions dans des lits jumeaux, nous avions 11 et 13 ans et même au delà.
Après, nos vies ont pris des chemins différents. Tu es restée à Brive et je suis partie à Paris. Plus tard lors de nos arrêts à Libourne en revenant de réunions à Bordeaux, je n'oublierai jamais ces instants où, le moment du départ venu, nous nous prenions dans les bras si fort l'une contre l'autre.
Je te demande pardon si sans le vouloir j'ai pu peut-être te faire de la peine.
Le jour où mon heure sera venue j'espère que nous pourrons nous retrouver là-haut.
Je t'embrasse petite soeur et saches que tu resteras toujours au fond de mon coeur. Mimi